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Véganisme : le dossier complet sur cette nouvelle approche de la vie

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Le véganisme est un mode de vie qui vise à lutter contre l’exploitation animale. Pour rappel, une personne végétarienne a un régime alimentaire sans viande (viande rouge comme viande blanche) et sans poisson (poisson au sens strict comme les fruits de mer). Une personne végétalienne type d’alimentation sans aucun produit d’origine animale (viande, poisson, produits laitiers, œufs, miel…). Une personne végane adopte un style de vie qui a pour but d’exclure la souffrance animale ainsi que toute la violence et cruauté faite envers les animaux. Et cela passe différents domaines de la vie quotidienne.

Étymologiquement parlant, le terme anglais « vegan » fut créé durant la Seconde Guerre Mondiale, en 1944 précisément, par la Vegan Society pour désigner une personne qui vit sans exploiter les animaux. Alors la thématique des animaux est bien sûr centrale. Mais au-delà de la protection animale, les raisons du véganisme sont nombreuses, parmi lesquelles on trouve la protection de l’environnement ou encore les bienfaits pour notre santé. Cet article explicite les trois principales raisons du véganisme.

La protection des animaux

Les conditions de vie des animaux

Les animaux utilisés par la grande industrie se trouvent dans des conditions difficiles.

Ils sont regroupés dans des abattoirs, avec peu d’espace et parfois une lumière du jour inexistante.  Plusieurs associations s’engagent pour protéger les animaux, dont l’association l214 qui montrent sur sa chaîne YouTube des vidéos de plusieurs abattoirs de France. Tous les animaux sont concernés : les bœufs, les porcs, les poules, les poulets, les poussins, les canards, les oies qui sont utilisés par la grande industrie pour produire de l’alimentation.

Les poissons dans le cadre de la pêche souffrent également beaucoup.

Et si la situation au sein des abattoirs est compliquée pour les animaux, elle l’est tout autant durant le transport vers l’abattoir. Les voyages durent plusieurs heures, les animaux durant ces longs voyages ne reçoivent bien souvent ni eau ni nourriture. Puis vient le déchargement, très brutal, qui se passe souvent avec un aiguillon électrique, à l’origine de nouvelles souffrances.

Le transport est, pour beaucoup d’animaux, un des rares moments où ils sentent de l’air et voir la lumière du jour, c’est-à-dire la lumière naturelle. En optant pour une alimentation végétale, c’est-à-dire une alimentation sans aucun produit d’origine animale, on contribue à la protection de la vie animale.

Les différentes dimensions du véganisme

De plus, afin de soutenir la vie animale, le véganisme est un mode de vie qui va au-delà de l’alimentation. C’est un mode de vie qui privilégie le maquillage végan, par opposition aux marques de maquillage qui utilisent des matières animales pour leurs produits.  C’est là qu’intervient le concept de « marque cruelty-free ». Ce dernier signifie que la marque propose des produits développés sans aucun test animal. Ainsi, du maquillage végan n’a jamais été testé sur un animal. En outre, aucun composant du maquillage végan ne provient d’un animal, sans exception. Beaucoup de produits de cosmétiques végans sont testés sur des animaux et cela occasionne de nombreuses douleurs aux animaux, notamment aux lapins. Les tests les plus courants que les lapins subissent sont des tests des yeux et de la peau. Certes la loi française l’interdit, mais les tests sont encore pratiqués dans de nombreux pays, notamment en Chine.

L’idéal est ainsi de se tourner vers les labels végans, comme Expertise Vegan Europe ou les labels Cruelty Free comme Cruelty Free and Vegan. Sinon, il existe différentes marques de maquillage végan qui sont commercialisés dans les grands magasins de maquillage.

Le mode de vie végan pour les textiles

Le mode de vie végan favorise aussi les vêtements qui ne contiennent aucune matière animale.

Pour s’assurer qu’un vêtement est végan et ne contient pas de matière animale, il y a 3 principaux critères. Le premier est le prix : les vêtements sans matière animale sont moins chers car cela revient moins cher au producteur. Le second est le label. Bien sûr, si un vêtement est certifié par un label, cela signifie qu’il a été contrôlé au préalable. Enfin, demander en magasin est le troisième geste qui vous permettra de vous assurer si un vêtement est végan ou non.

Pour choisir vos pulls, il s’agira alors de privilégier :

  • le coton
  • le lin
  • l’acrylique
  • flanelle de coton
  • le tissu synthétique.

En revanche, il faudra éviter la laine, le cashmire ou encore tous les matériaux contenant de la matière animale comme de la peau de mouton ou du poil de chameau. Si vous devenez végan aujourd’hui, vous pouvez garder vos habits dans votre garde-robe pour ne pas gaspiller, mais à l’avenir, il faudra faire une sélection entre les matières animales et les matières non animales.

Le monde du végan adapté aux loisir

Finalement, le domaine des loisirs est aussi concerné par le véganisme. Un végan privilégie ainsi les types de loisirs où aucun animal n’est exploité. En ce sens, le véganisme exclut également :

  • Le zoo
  • Les corridas
  • Les cirques
  • Les aquariums

Les animaux élevés pour ces événements ne sont pas dans leur environnement naturel et leur vie devient très compliquée. Dans le cas de la corrida, même si ce type d’événement est légal sur le territoire français, il peut bénéficier d’une dérogation dans plusieurs villes du sud de la France. Dans cet évènement truqué, qui est présenté comme quelque chose loyal, il existe beaucoup de mauvais traitements qui visent à rendre l’animal plus faible avant son entrée en scène. Ces traitements s’accompagnent de plusieurs types de violence, et de nombreuses associations ont vu le jour pour demander à supprimer la corrida. Dans le cas du cirque, même si le cirque est interdit dans de nombreuses villes, certaines villes continuent de l’autoriser. Et la violence se fait au moment du dressage. L’animal vit en captivité, après avoir été capturé dans son environnement naturel. La situation est similaire dans les zoos : les animaux manquent d’espace, sont très stressés et sont séparés de leur famille. Chaque année, presque 1/5 des animaux retenus dans les zoos meurent suite à leurs mauvaises conditions de vie.

Être végan pour l’équilibre de l’écosystème

La pollution de l’air

L’élevage est la deuxième cause d’émissions de gaz à effet de serre, représentant environ 15% des émissions globales (la première étant les transport).  Les gaz à effet de serre groupent principalement le protoxyde d’azote (qui proviennent des engrais), le méthane ainsi que le CO2. Selon une étude Oxford de 2016, l’adoption d’une alimentation végane à l’échelle mondiale diminuerait les émissions liées à la production alimentaire de 70%. Si l’on compare par exemple la viande aux légumineuses, 27 kilos de CO2 sont générés pour chaque kilo de bœuf, pour seulement 0.9 kilo pour un kilo de lentilles. Cela explique ainsi pourquoi être végan ou être végétarien est intéressant ! Parmi tous les moyens de lutter contre la pollution de l’environnement et le changement climatique, adopter une alimentation végane fait partie des meilleurs moyens. Et ce moyen se situe bien loin devant acheter une voiture électrique ou encore mettre des ampoules d’économie d’énergie chez soi.

Les ressources en eau

La production de viande est également en partie responsable de l’épuisement des ressources en eau. La viande rouge tout particulièrement consomme beaucoup d’eau pour sa production. Un kilogramme de bœuf par exemple consomme près de 20 000 litres d’eau, contre seulement 2 000 litres d’eau pour un kilogramme de soja. Si l’on fait la comparaison, un plat végétalien consomme près de 70 % d’eau de moins que le plat d’un “carnivore”. Un écart considérable encore une fois ! Concernant l’eau, c’est aussi la qualité de l’eau qui est mise en cause. En effet, à cause de l’agriculture et la production de produits d’origine animale, l’eau douce est de plus en plus polluée. C’est donc la qualité de l’eau de notre planète qui est également au cœur du débat, et plusieurs causes expliquent cette tendance. Les pesticides, les engrais ainsi que les produits qui proviennent des excréments d’animaux (comme les nitrates) en sont responsables.

Les espaces naturels

En troisième lieu, les forêts du monde sont aussi tailladées du fait de l’élevage. Pour créer de plus en plus d’espaces pour la production, les espaces naturels sont sacrifiés. Et cela se traduit par un phénomène de déforestation à l’échelle mondiale. 80% des forêts du monde ont été détruites depuis les années 1950. En choisissant d’adopter une alimentation végane, nous contribuons à la protection de l’environnement et au meilleur équilibre de l’écosystème.

L’extinction des espèces

Enfin, l’élevage industriel est en grande partie responsable de l’extinction des espèces ! L’agriculture intensive pour l’alimentation des animaux de bétail est la principale cause d’extinction des espèces dans de nombreux pays dont les États-Unis. Si les animaux sont menacés sur la terre, ce sont aussi les poissons qui sont concernés. La pêche est ainsi responsable de la diminution de la capacité de renouvellement de la faune. Parmi les espèces couramment consommées, on relève une baisse des effectifs de plus de 90%, un chiffre considérable !

Les bienfaits santé

Les méfaits des produits animaux

La principale dimension du véganisme est l’alimentation. Pour rappel, une alimentation végétale ne comprend ni viande, ni poisson, ni œufs, ni produits laitiers ni miel. En enlevant la viande de notre programme alimentaire, on réduit toutes les graisses saturées que celle-ci contient, et diminue ainsi le risque de maladies cardio-vasculaires à long terme. La surconsommation de viande à l’échelle planétaire est ainsi pointée du doigt, notamment la viande transformée (saucisse, charcuterie, bacon…). La charcuterie par exemple contient beaucoup de E250, qui est un conservateur très cancérigène utilisé pour donner une couleur rose et dorée au jambon.

Pourquoi retirer le poisson ?

En retirant le poisson, on diminue la quantité de mercure consommé via notre alimentation, qui fragilise notre système nerveux s’il est consommé en grande quantité. Les gros poissons sont les plus concernés par cette consommation puisqu’ils se nourrissent de petits poissons ayant eux-mêmes mangé de plus petits poissons. Finalement, le mercure contenu dans le gros poisson s’est accumulé et cela est très nocif pour notre organisme. En d’autres mots, plus on monte dans la chaîne alimentaire, plus la teneur en mercure est importante. Cela provient d’une accumulation biologique depuis les espèces les plus petites. Et les gros et vieux poissons prédateurs, comme c’est par exemple le cas du thon rouge ou de l’espadon, sont en général les plus touchés. Et parmi les principales conséquences, le mercure est principalement dangereux pour les enfants et les fœtus exposés in utero, et se traduit par de nombreux troubles neurologiques.

Et le lait de vache ? Réellement riche en calcium ?

Enfin, le lait de vache comporte du calcium peu assimilable par notre organisme, ce qui limite ses bienfaits pour notre ossature. En effet, sa biodisponibilité n’est que de 30 à 35%, et cela réduit l’intérêt du lait. Alors certes, il contient beaucoup de calcium, mais la majorité n’est pas assimilé. Et pour aller plus loin, non seulement la plupart du calcium du lait de vache n’est pas bien assimilé par le corps, mais surtout, le lait augmenterait la perte de calcium de nos os. Comme toute protéine animale, le lait génère la production d’acides, ce qui entraîne une modification biologique. Les os sont la meilleure source de stockage de calcium dans notre corps. Ainsi, ce même calcium dont nos os ont besoin pour se fortifier est utilisé pour neutraliser l’effet “acidogène” du lait. Ensuite, le calcium qui se détache des os, est évacué par l’urine. C’est pourquoi le lait réduit le calcium dans notre corps. En outre, un bébé possède une enzyme appelée lactase, qui permet de bien digérer le lactose. Seulement, cette enzyme diminue au fur et à mesure que nous grandissons. Et ce déficit en lactase à l’âge adulte explique l’intolérance au lactose que beaucoup de personnes ont. Et le lait de vache est une vraie problématique. Le lait est bien plus qu’une simple boisson. C’est un phénomène culturel qui a un historique sur des milliers d’année. En France, en 2014, ce sont 780 litres de lait de vache qui sont produits, ce qui fait un total de près de 25 millions de tonnes à l’année.

Quels sont les bienfaits des produits d’origine végétale ?

Concernant les aliments végans, ils couvrent tous les besoins de notre organisme, que ce soit en termes de nutriments, vitamines ou encore minéraux. Ils regroupent notamment les fruits secs oléagineux comme les noisettes ou les amandes. Ces derniers contiennent de graisses insaturées, qui sont de bonnes graisses pour l’organisme. Cela en fait de très bonne sources de lipides. Les aliments végans contiennent aussi les graines, comme les graines de chia ou les graines de courge, excellentes pour le cerveau ainsi que pour le système cardiovasculaire.

On retrouve aussi les légumineuses, riches en protéines, ainsi que les fruits et légumes, qui doivent constituer près de 80% de notre alimentation par leur teneur en antioxydants.

Concernant les sources de protéines, le tofu et le tempeh qui sont à base de soja sont de très bonnes sources de protéines et riches en acides aminés essentiels. Le seitan est également une autre option, à base de blé, qui contient jusqu’à 30% de protéines selon la forme sous laquelle il est consommé.

Le fer végétal

Le fer végétal ou encore les protéines végétales sont ainsi très riches. Concernant le fer végétal (qui est le fer non héminique provenant des végétaux), on le trouve principalement dans les légumineuses, les céréales ainsi que les fruits à coque. Petite astuce : il est conseillé de combiner les aliments contenant du fer non héminique avec des aliments contenant de la vitamine C, et l’assimilation du fer peut alors se multiplier par cinq !

Les protéines végétales

Concernant les protéines, pour rappel, au sein de notre corps, elles deviennent des acides aminés qui permettent la croissance et la réparation de nos cellules. On pense souvent que les protéines viennent uniquement de la viande ou du poisson. Mais elles se trouvent aussi dans de nombreux aliments végans. En plus de trouver de bonnes quantités de protéines, la qualité des protéines est également très bonne dans les végétaux. Parmi ces 20 acides aminés, 8 ne sont pas fournis naturellement par notre organisme. Ils sont appelés acides aminés essentiels dans la mesure où l’on doit les apporter à notre organisme via notre alimentation. Et le point intéressant est que tous les acides aminés essentiels sont présents dans les aliments végans. Parmi les aliments les plus riches en protéines, on a la spiruline qui 63 grammes de protéines pour 100 grammes de spiruline. Elle est considérée comme un super aliment, tant ses bienfaits sont nombreux. Elle peut se consommer sous forme de comprimés, de paillettes ou de poudre.

Pensez aux graines !

Les graines de courge sont aussi riches en protéines végétales, avec 25 grammes de protéines pour 100 grammes de graines. En plus de sa forte teneur en protéines, elle prévient des maladies cardio-vasculaires. Il est aussi recommandé, si vous êtes sportif et que votre besoin en protéines est élevé, de consommer du tempeh. Il contient précisément 25 grammes de protéines pour 100 grammes de tempeh. Le tempeh, fait à base de germes de soja (comme le tofu) contient lui aussi des protéines de bonne valeur biologique dans le sens où il possède tous les acides aminés nécessaires à notre corps. Une fois de plus, c’est une très bonne source de protéines végétales, sur le plan qualitatif comme sur le plan quantitatif.

Quelles sont les alternatives au lait ?

Pour remplacer le lait, quelles sont les alternatives ? Quel que soit votre raison d’arrêter le lait de vache, réduire votre consommation de produits laitiers est une bonne idée. Cela diminue les graisses transmises à votre organisme ainsi que le cholestérol. Et les principales alternatives sont les différents types de lait végétaux. Leur composition est complètement différente. C’est pourquoi ce sont des alternatives pour vos recettes et préparations, et non des alternatives pour retrouver un bon apport en calcium. La principale alternative est le lait de soja. Il est beaucoup utilisé en Asie et devient de plus en plus courant en Europe. Pour le préparer, les graines sont mouillées, broyées, mises dans l’eau puis cuites. Puis les producteurs homogénéisent le tout pour ensuite le conditionner. Riches en protéines végétales, en fibres ainsi qu’en acides gras polyinsaturés, il est idéal pour ceux qui ont du cholestérol. Il y a aussi le lait d’amandes. En plus de pas contenir de glucide, il ne contient pas de gluten ni de cholestérol. Il est presque trois fois moins calorique que le lait de vache demi-écrémé. Enfin, le lait d’avoine ne contient pas de lactose ni de cholestérol. Il contient beaucoup de minéraux. Enfin, il est bien pauvre en acides gras saturés et en protéines végétales.

La question de la vitamine B12

La seule question essentielle est la question de la vitamine B12, qu’il est recommandé de consommer sous forme de compléments alimentaires car présente uniquement dans les produits d’origine animale. Une déficience en B12 nuit aux fonctions cognitives de l’organisme, et augmente les risques de maladies cardio-vasculaires. Et les principaux symptômes d’une carence sont une fatigue chronique, des douleurs musculaires ainsi que des difficultés à respirer. Les deux principales manières de repérer une carence sont la prise de sang ou le test urinaire MMA mesure l’acide méthylmalonique dans l’urine.

Les solutions pour avoir un bon apport en B12 si vous êtes végans sont les aliments enrichis en B12 vendus en pharmacie sans ordonnance ou dans les magasins spécialisés (notamment les magasins bio ou les magasins en ligne). On trouve ainsi beaucoup de laits végétaux enrichis comme du lait d’amandes enrichi, des produits de soja enrichis, des céréales enrichies, notamment le muesli. Vous avez en outre les compléments alimentaires, qui vous aideront à apporter à votre corps la B12 dont il a besoin. Concernant les doses, pour un végan adulte en bonne santé, il est recommandé de consommer des aliments enrichis 2 à 3 fois par jour pour obtenir au moins 3 μg de B12 par jour, ou de prendre un supplément de b12 tous les jours qui fournissent au moins 10 μg de B12. Sinon, pour l’aspect plus pratique et moins régulier, vous pouvez prendre un supplément une fois par semaine qui fournit au moins 2000 μg (avec par exemple 2 ampoules de 1000).

L’important est d’être régulier et ne pas oublier, et vous n’aurez aucune carence.

Conclusion

Pour conclure, pour être en bonne santé, votre alimentation doit rester principalement constituée d’aliments naturels et complets, dont les fruits et légumes, les graines ou encore les fruits secs oléagineux. Devenir végan est un très beau projet, qui laissera un monde meilleur à nos enfants et petits-enfants, et qui vous fera retrouver la forme grâce à tous les bienfaits nutritionnels d’une alimentation sans produit d’origine animale.

Cet article est rédigé par Quentin du blog Merci Végan.

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A propos de l’auteur

Après avoir obtenu mon Master en Sciences à l’Université de Nantes en 2009, je travaille pendant 4 ans en tant qu’ingénieur d’études auprès des plus grands noms français de l’aérospatiale, du nucléaire et du militaire. En février 2012, alors que je ne trouve plus aucun sens dans mon métier, je crée Penser et Agir. C’est ainsi que je renoue avec mes passions : la psychologie, le développement personnel et l’entrepreneuriat. J’adapte à la psychologie et au développement personnel la logique et la structure des raisonnements que j’ai acquis en tant qu’ingénieur d’études pour créer ma propre approche : Le développement personnel par l’Action. Aujourd'hui, Penser et Agir, c'est plus de 100 000 visiteurs par mois, plus de 150 000 abonnés à la newsletter et plus de 3 000 personnes qui m'ont déjà fait confiance en suivant mes programmes en ligne. Pour en savoir plus : Qui est Mathieu Vénisse ?

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